Berlin Express

Quand nous aurons envisagé toutes les explications possibles, c'est la plus raisonnable qui nous fournira la réponse.
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Berlin Express

MAJ samedi 29 octobre 2011

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Actualités

  • 02/07 Cinéma: Vincente Minelli & Films noirs : acte II
    L'Action Christine continue pour la seconde semaine d'affilée sa rétrospective consacrée au réalisateur Vincente Minelli. Dans le même temps, et dans la seconde salle, perdure un festival sur le film noir. Autant Minelli est synonyme de comédie et aborde la critique sociale par son aspect le plus décalé, autant le film noir sous-entend une approche critique sociétale abordée de la plus rude des manières. Et à ce jeu-là, John Huston tient la palme ! Le Trésor de la Sierra Madre est un modèle du genre lorsque l'esprit prend le pas sur tout le reste. Vous découvrirez un Humphrey Bogart plus fiévreux et avide que jamais aux prises avec ses tourments.

    Festival 1 : Vincente Minelli
    ""Certains le trouvent superficiel, mais cette impression elle-même n'est que superficielle. Pour peu qu'on interroge son œuvre, on y sent partout une âme inquiète, une sensibilité très vive qui se dissimulent sous le masque de l'élégance, du raffinement esthétique, de la rêverie mélancolique. S'il fut le derniers des grands réalisateurs 'sous contrat', il n'a jamais été un homme à tout faire. On ne l'imagine pas tournant un western, un policier, un film de guerre. Certes, il passe le plus facilement du monde de la comédie au drame. Mais, comme entre autres, Shakespeare, qu'on n'a jamais songé pour cela à accuser de manquer de personnalité. Comme le Barde (nous ne pousserons pas plus loin la comparaison), Minnelli fait des comédies mélancoliques et des drames toniques. Ce décalage entre matière et manière est générateur d'une atmosphère assez spéciale, qui imprégnait déjà les premiers musicals par lesquels il rénova entièrement le genre...
    Il semble étonnant que l'intensité du plaisir esthétique procuré par tant de films de Minnelli, drames ou musicals, ne soit pas suffisante pour le légitimer aux yeux de tous. On pourrait parfois se croire revenu aux temps où le 'simple' divertissement était, par principe, suspect et tout film, pour être pris au sérieux, devait véhiculer un 'message'. De ce point de vue étroit, Minnelli n'a peut-être 'rien à dire' (encore qu'on pourrait objecter, paraphrasant Valéry, qu'il ne s'agit pas de dire mais de faire), ce qui ne l'empêche pas de communiquer avec son public. La joie et l'émotion ressenties constituent son 'message'& ; elles sont leur propre justification." Bertrand Tavernier & Jean-Paul Coursodon (50& ans de cinéma américain)

    Mercredi 3 juillet :
    La Vie passionnée de Vincent Van Gogh (Lust for Life), de Vincente Minelli (14 heures, 16 h 30, 19 heures & 21 h 30).
    Jeudi 4 juillet :
    La Toile d'araignée (The Cobweb), de Vincente Minelli (14 heures, 16 h 30, 19 heures & 21 h 30).
    Vendredi 5 juillet :
    Le Pirate (The Pirate), de Vincente Minelli (14 heures, 16 heures, 18 heures, 20 heures & 22 heures).
    Samedi 6 juillet :
    Comme un torrent (Some Came Running), de Vincente Minelli (14 heures, 16 h 30, 19 heures & 21 h 30).
    Dimanche 7 juillet :
    La Femme modèle (Designing Woman), de Vincente Minelli (14 heures, 16 h 30, 19 heures & 21 h 30).
    Lundi 8 juillet :
    Yolanda et le voleur (Yolanda and the Thief), de Vincente Minelli (14 heures, 16 heures, 18 heures, 20 heures & 22 heures).
    Mardi 9 juillet :
    Celui par qui le scandale arrive (Home from the Hill), de Vincente Minelli (14 heures, 16 h 30, 19 heures & 21 h 30).

    Festival 2 : le film noir
    "Le film noir déborde le cadre policier. Il est l'expression d'une passion, d'une obsession, poussées à leur limite extrême, sur fond de conflits sociaux, politiques, psychologiques. C'est surtout le travail du réalisateur qui en fait un film noir. Les plus grands : Fritz Lang, Alfred Hitchcock, Nicholas Ray, Jules Dassin, Joseph L. Mankiewicz, Michael Curtiz, etc., plongent le spectateur dans une ambiance intrigante ou angoissante, sachant, chacun dans son style, créer des images fortement expressives (par le cadre et l'éclairage) et une progression dramatique intense (par le rythme et la précision du montage). Du vrai et grand cinéma."

    Mercredi 3 juillet :
    La Double énigme (The Dark Mirror), de Robert Siodmak (14 heures, 16 heures, 18 heures, 20 heures & 22 heures).
    Jeudi 4 juillet :
    L'Homme à la peau de serpent (The Fugitive Kind), de Sydney Lumet (14 heures, 16 h 30, 19 heures & 21 h 30).
    Vendredi 5 juillet :
    La Force des ténèbres (Night Must Fall), de Richard Thorpe (14 heures, 16 h 30, 19 heures & 21 h 30).
    Samedi 6 juillet :
    Berlin Express (Berlin Express), de Jacques Tourneur (14 heures, 16 heures, 18 heures, 20 heures & 22 heures).
    Dimanche 7 juillet :
    Le Trésor de la Sierra Madre (The Treasure of the Sierra Madre), de John Huston (14 heures, 16 h 30, 19 heures & 21 h 30).
    Lundi 8 juillet :
    Mata Hari (Mata Hari), de George Fitzmaurice (14 heures, 16 heures, 18 heures, 20 heures & 22 heures).
    Mardi 9 juillet :
    Doux oiseau de jeunesse (Sweet Bird of Youth), de Richard Brooks (14 heures, 16 h 30, 19 heures & 21 h 30).

    * L'Action Christine
    4, rue Christine
    75006 Paris
    Tél; : 01.43.25.85.78
    contact@actioncinemas.com
    Liens : Jacques Tourneur

  • 12/12 Cinéma: Robert Ryan et réalisateurs européens - acte II

Chronique

Siodmak Documentaire amplifié par l'annonce en début de film que les scènes tournées à Berlin et Hambourg ont eu l'accord des troupes d'occupation. Voix off : documentaire Pigeon abattu (pourquoi ?) sur le parvis de la Tour Eiffel Voix en français On croirait au départ de l'Orient Express Mise en scène du départ avec des personnages emblématiques et mystérieux. Chef de la commission d'unification de l'Allemagne L'assassin commet l'erreur de révéler un fait qu'il n'étais pas censé connaître. Réalisation final avec le meurtre qui se reflète dans un train qui passe sur une voie parallèle. Réalisme - cigarettes GI et mégots récupérés Il y a des Allemands importants ? Qui vous dit qu'il est allemand ? Gardes du corps, train retardé, je penche pour un Américain. Ni l'un ni l'autre. Je parie pour un Russkoff. Il n'y a qu'un Russe pour se méfier autant. Et qu'un Anglais pour râler

Rédacteur: Julien Védrenne samedi 29 octobre 2011
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