Vénus privée

Il savait que la réponse n'était sans doute pas dans les cartons de la penderie, mais il demeurait convaincu que parmi les sept cent soixante-trois noms figurant sur les documents de l'enquête, il y avait celui d'une personne, au moins, qui savait ce qui s'était passé ce jour d'octobre, près de vingt-quatre ans plus tôt.
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Roman - Policier

Vénus privée

Politique - Social - Médical MAJ dimanche 31 octobre 2010

Note accordée au livre: 6 sur 5

Poche
Réédition

Tout public

Prix: 8,5 €

Giorgio Scerbanenco
Venere privata - 1966
Traduit de l'italien par Laurent Lombard
Paris : Rivages, octobre 2010
262 p. ; 17 x 11 cm
ISBN 978-2-7436-2144-5
Coll. "Noir", 794

Duca Lamberti, opus 1

Milan, années 1960, le docteur Duca Lamberti sort de trois années de prison qu'il a purgées pour avoir aidé une vieille dame à mourir en l'euthanasiant. À sa sortie, épaulé par le commissaire Luigi Carrua, un ancien ami de son père, il se retrouve chez Mr Auseri. Ce riche industriel, persuadé que son fils a un problème de boisson, cherche de l'aide mais ne veut en rien ébruiter "l'affaire" sur la place publique. Duca – qui a une sœur et sa fille à nourrir – accepte de rencontrer le fils. Rapidement, il constate que ce n'est pas le mal qu'il faut traiter, mais ses racines, et ceci va l'amener à devenir détective.
À relire Vénus privée aujourd'hui, dans la traduction de Laurent Lombard, on mesure à quel point les chefs d'œuvres sont intemporels. Le livre n'a pas pris une ride, est toujours aussi puissant, pose des questions qui sont toujours d'actualité, et permet de voir combien de livres mauvais on a pu lire entre ces deux lectures !...

Citation

Les maladies morales peuvent faire impression, même sur un médecin. Et ce garçon était un malade moral.

Rédacteur: Christophe Dupuis lundi 25 octobre 2010
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