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Celle d'après, l'alligator se jette sur lui et sa gueule hérissée de crocs d'ivoire jaunis claque sur sa tête et lui déchire l'épaule et le crâne. Puis l'animal s'assure, de deux brusques hoquets de la tête, que l'homme hurlant ne lui échappera pas, et le traîne à reculons jusqu'à la berge du bayou.
Roy Braverman - Freeman
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dimanche 19 mai

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Série pour la plage (4)

MAJ dimanche 19 mai

Série pour la plage (4)
© David Delaporte / k-libre

27 juillet 2013 - Désœuvrement et littérature. Il y a bien mieux à faire que de fumer des joints à l'ombre de son immeuble. Par exemple : fumer des joints au pied de son immeuble en lisant Une apologie des oisifs, de Robert-Louis Stevenson. Avec Stevenson, il devient du reste rapidement inutile, voire harassant, de fumer quoique ce soit. Sa parabole, Will du moulin, est d'excellente qualité également : sans trop charger la mule, il vous paie véritablement un voyage dans les Cévennes. Et bientôt, L'Île au trésor ne vous sera plus qu'à un pâté de maison, à un carré de verdure près. Vous vous emmerdez ? Un petit effort : ennuyez-vous.
Liens : Robert Louis Stevenson Par Stéphane Prat

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