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J'ai donc bien mieux à faire que d'aller parader dans les rues comme un baudet pour fanfaronner à côté de notre faux-monnayeur de souverain et de son égorgeur de Nogaret, dont le seul mérite, je dois l'admettre, est d'avoir taloché le pape. Il n'y a rien de plus inepte qu'une cérémonie religieuse, la foi est une affaire personnelle, et sitôt qu'on est plus d'un à parler de Dieu, on se trompe, si bien que je crois que, comme moi, Notre-Seigneur Soi-même s'en tape jovialement les divins testicules.
Henri Lœvenbruck - L'Apothicaire
Couverture du livre coup de coeur

Coup de coeur

Bleus, blancs, rouges
Paris, fin des années 1970. Les années Giscard, le disco, une certaine idée d'un pays figé et conserv...
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dimanche 15 juin

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Série criminelle (15)

MAJ dimanche 15 juin

Série criminelle (15)
© David Delaporte / k-libre

21 avril 2013 - Cartons. Dans Le Crépuscule des stars, Robert Bloch retrace la disparition, dans le bruit et la fureur, du cinéma muet. Et la disparition du cinéma tout court, pour tout dire, de l'écriture filmée, qui se passe très bien de son (mais pas de musique). Ce fut un véritable grabuge, quand les cartons contenant les dialogues, échangés ou intérieurs, disparurent des grands écrans. Les stars n'y survécurent pas et s'entre-déchirèrent avec leurs propres dents. Pas simple, faut croire, de dialoguer en parlant.

Retrouvez l'ensemble des Séries criminelles.
Liens : Robert Bloch | Le Crépuscule des stars Par Stéphane Prat

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