Dépêche | L'Incroyable destin de Clarisse Manzon - Épisode 17

Le jus de chat était en effet un revigorant [...] Si un jour tu as pressé une orange, tu pourras imaginer le procédé, lui expliqua la femme en lui servant un autre verre. On attrape un beau chat et on lui brise les os avec un marteau en prenant soin de ne pas lui écraser la tête afin qu'il reste vivant. On le laisse reposer un peu et on met le feu à ses poils. Puis on l'ébouillante et on l'assaisonne à son goût. Après une heure de cuisson, on filtre dans un pichet et voilà.
Antonio Garrido - Le Lecteur de cadavres
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MAJ jeudi 25 avril

L'Incroyable destin de Clarisse Manzon - Épisode 17
18/04/2011

Après avoir bénéficié de révélations d'importance - et dans des circonstances mystérieuses à souhait, dignes des plus rocambolesques romans... - Gilbert Alvergnat se décide à tout raconter à son hôte et ami, le libraire Blaise Carrère. Le lendemain de cette étrange soirée, voilà les deux compères allant quérir plus amples renseignements auprès de Lucien, qui tient le Café du Coq. Une fenêtre de plus s'ouvre sur la maison Bancal dans ce dix-septième épisode que vient de mettre en ligne Pierre Mazet - en partie grâce à l'amant en titre de la belle Clarisse, un certain lieutenant Clémendot...
Rodez, de plus en plus sombre malgré le printemps qui s'installe (dans le texte comme dans la "vraie vie").


Liens : Pierre Mazet

Par Isabelle Roche

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