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Les couleurs de l'image étaient un peu trop contrastées et l'éclairage artificiel donnait à la pâleur de porcelaine de son visage une teinte blafarde qui ne lui rendait pas justice, mais qui faisait ressortir ses yeux et ses lèvres comme ceux des acteurs de théâtre kabuki.
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Coup de coeurBleus, blancs, rougesParis, fin des années 1970. Les années Giscard, le disco, une certaine idée d'un pays figé et conserv... ... En savoir plus |