Menu d'accès rapide :
Antonio entend à nouveau leur cri de guerre, comme des peaux-rouges. Le même que celui qu'il n'avait pas reconnu pendant la séquestration du professeur, mais que désormais il n'oubliera plus : 'Kata-kata-katanga'.
![]() |
![]() |
Coup de coeurBleus, blancs, rougesParis, fin des années 1970. Les années Giscard, le disco, une certaine idée d'un pays figé et conserv... ... En savoir plus |