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Chaque crime avait son écosystème, intervenait dans une communauté d'individus aux prises avec leur environnement. C'était généralement l'erreur de l'assassin, il croyait qu'en tuant une personne il supprimait juste une existence et qu'il lui suffisait d'effacer les traces de son acte pour que la vie autour reprenne. C'était particulièrement débile, parce que son crime remettait nécessairement en cause tout un dense réseau de dépendances, d'échanges, d'informations et que, tôt ou tard, celles-ci réapparaitraient pour peu que l'on dresse avec précision la carte de cet écosystème. C'est pourquoi rien, même le plus petit élément, ne devait être laissé de côté.
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Coup de coeurBleus, blancs, rougesParis, fin des années 1970. Les années Giscard, le disco, une certaine idée d'un pays figé et conserv... ... En savoir plus |