Menu d'accès rapide :
Personne ne répond, bien sûr, mais quand je pose à nouveau les yeux sur la tente, tout près d'elle, je suis frappé par l'intensité de sa couleur et l'éblouissement qu'elle provoque – son bleu profond, électrique, océanique -, et j'éprouve quelque chose comme de la douleur juste derrière mes globes oculaires.
![]() |
![]() |
Coup de coeurBleus, blancs, rougesParis, fin des années 1970. Les années Giscard, le disco, une certaine idée d'un pays figé et conserv... ... En savoir plus |